LA SOLUTION DE JOB
Le Châtiment sera dur ?
Nous le méritons, c’est sûr !
Les trois premiers chapitres du Livre de Job présentent le problème de la souffrance des âmes apparemment innocentes. Dans les 34 chapitres suivants, où on lit un dialogue entre Job et quatre de ses amis, trois solutions du problème se présentent : Eliphaz, Baldad et Sophir affirment que la souffrance est toujours un châtiment ; Elihu est un peu plus nuancé, elle peut servir aussi d’avertissement ; Job lui-même la prend pour un mystère insondable. Mais au cours de la discussion plus d’une fois Job a remis en cause son Créateur dont il a su par sa foi que sa souffrance lui est venue. Donc d’une part la patience de Job a été admirable – “Le Seigneur a donné, le Seigneur a enlevé, béni soit le Seigneur” (Job I, 21), mais d’autre part elle n’a pas été parfaite. Car Job a bien voulu mettre en question le Bon Dieu.

LA PATIENCE DE JOB
La deuxième section du Livre de Job (chapitres 4 à 37) est la plus longue. On la nomme ici : « La patience de Job », parce qu’on y voit quatre de ses amis, venus parmi d’autres, soi-disant pour le consoler, qui ne font que le tourmenter en remuant le couteau dans la plaie. Comme dit Job : quels amis, que ceux-là ! Dans la troisième section, chapitres 38 à 42, Dieu intervient lui-même pour apporter la vraie solution que Lui seul pouvait présenter avec une telle autorité. Pour nous, cette leçon nous est certainement des plus profitables, car elle nous permet de situer correctement dans nos esprits et la folie Covid, et le Châtiment divin qui s’approche de plus en plus près, et la fin du monde.(...)

Le Concile de Trente a défini chacun des 46 Livres de l’Ancien Testament comme étant la Parole de Dieu. C’est pourquoi cette première partie de la Bible constitue en fait un immense Trésor. Pour spécifier la relation unifiant l’Ancien Testament au Nouveau, on dit, avec raison, que le Nouveau est caché dans l’Ancien, tandis que l’Ancien prend toute sa signification dans le Nouveau. Il n’y a donc aucune contradiction entre les deux Testaments, ni entre le Dieu de l’Ancien et le Dieu du Nouveau (contrairement à ce que certains sont tentés de penser), ni entre la doctrine de l’Ancien et du Nouveau. Simplement, l’Ancien Testament s’épanouit dans le Nouveau.

Cet avocat a vu le grand mal de Covid.
Qui pourra supporter ce monde fratricide ?
Nous ne tenons pas à nous excuser dans ces « Commentaires » de revenir si souvent sur la crise Covid car, en fait, il s’agit d’un crime gigantesque, et il faut même s’attendre à ce qu’elle soit, encore pour un temps, le principal champ de bataille de la grande guerre opposant Satan à Dieu pour le salut des âmes. Le Dr Reiner Fuellmich (...)

Scénario plausible
Un moine américain, du nom de Frère Alexis Bugnolo, nous brosse un tableau des plus dramatiques sur notre proche avenir dans un clip vidéo que de nombreux lecteurs ont peut-être déjà vu. Mais tout le monde aura intérêt à le connaître, non que les événements qu’il décrit se passeront exactement comme il les dépeint, mais parce que quelque chose du genre doit bien arriver au vu des forces en jeu autour de nous. Au siècle dernier, les péchés de l'humanité ont suffi à "lâcher les chiens de guerre" dans deux grands conflits mondiaux. Depuis 1945, les chiens de guerre ont beaucoup aboyé, toutefois sans aller jusqu’à mordre, contrairement à ce qu’ils ont fait en 14-18 ou en 39-45. Mais, depuis la révolution des années 1960, l'humanité dans son ensemble, en tournant le dos à Notre Seigneur, a certainement péché bien plus gravement qu’auparavant.

Les Agneaux Belants
En prévision de leur rencontre prochaine avec le Pape François, 15 supérieurs de Communautés catholiques traditionnelles, mais en règle avec Rome, se sont réunis à Courtalain en France pour préparer une déclaration commune visant à préserver leur bonne réputation, si chèrement acquise auprès des autorités romaines. En effet, le 16 juillet dernier, le Pape publiait son Motu Proprio Traditionis Custodes (...)
